Bousignies-sur-Roc : lavoir, fontaine et source « pétrifiante »

Les Fontaines sur le cadastre de Bousignies-sur-Roc en 1902 ADN P 31 / 673 Vue 15/22 :

Le cadastre de Bousignies-sur-Roc en 1902 indique plusieurs fontaines : celles du Pont Neuf et du Pont de Roue Sèche. Au Pont Neuf il y a une fontaine et un lavoir encore visible de nos jours. Il a été restauré en 1980 par la Municipalité.

Le Lavoir de Bousignies
Autre carte postale du lavoir
Le lavoir de Bousignies-sur-Roc
Le lavoir de Bousignies-sur-Roc
Source du lavoir de Bousignies-sur-Roc Intérieur du lavoir de Bousignies-sur-Roc

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Le Pont de Rousèche

Cette carte postale date de 1910. La photographie a été prise sur la rive gauche. A quelques mètres derrière les buissons de gauche se trouvaient, ici dissimulés, une fontaine et un lavoir. Ils ont disparu avec le temps. Il est vrai que l’endroit a changé plusieurs fois de visage. Ainsi en 1930 le pont jugé trop vétuste est démantelé et rebâtit en ciment armé. En 1940 ce pont, précieux pour le dispositif militaire de la « drôle de guerre » est miné. Il saute le 17 mai 1940. Inutilement d’ailleurs car les Panzerdivisionnen allemandes passent à guet des ruisseaux bien plus importants que la Hantes. Le pont est reconstruit en 1942, tel qu’en 1930 tel qu’il est aujourd’hui.

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Fontaine Rue Basse à Bousignies-sur-Roc Photo mapio
Fontaine Rue Basse à Bousignies-sur-Roc

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Anciens Bassins à Bousignies-sur-Roc

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La « source pétrifiante »

La commune a la particularité de posséder, sur son territoire, une « source pétrifiante » ; en fait, une source naturellement saturée en carbonate de chaux du même type que celle de Saint-Alyre, près de Clermont-Ferrand. Elle se trouve au sommet d’une colline boisée, nommée Bois de Squinchaux. Elle se jette dans la Hante, à quelques centaines de mètres de sa naissance.