Cet abreuvoir est antérieur à 1813. On autorisa en 1864 le brasseur M Hédon à utiliser pour son usine « les eaux surabondantes » de l’abreuvoir avant de clore celui-ci entre 1867 et 1869 par un mur pour y établir un garde fou en fer (ADN Série 2 O 237).
Le nom Gard a pour origine le terme d’ancien français gart (=jardin), issu du germanique gart qui a le même sens. A l’époque médiévale on faisait pousser dans ce jardin des légumes utilisés pour les soupes, des fruits ou bien encore des plantes aromatiques ou médicinales. Ici à Floyon la fontaine servait à irriguer ces parcelles.
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Le toponyme Chevireuil provient vraisemblablement d’une forme Cavirialo que l’on peut traduire par le champ de Cavirius qui défricha cet endroit pour le mettre en valeur : Ialo signifiait en gaulois « clairière défrichée dans une forêt ». De plus la terminaison en euil traduit la naissance de villages de défricheurs.
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Il existe également au 11 rue de Chevireuil une pompe à eau très utile pour les agriculteurs qui viennent chercher l’eau captée du ruisseau.
En 1870 une soixante de mètres en aval du ruisseau où se situe la pompe à eau , à l’actuel 15 rue de Chevireuil, le ruisseau s’élargissait et formait un abreuvoir naturel.